Une Britannique arrêtée pour avoir nommé un nounours Mahomet

Si tous ces Soudanais qui se sont maniféstés mchew yharbou fi Palestine, rana manna3neha ..
Mais c'est quoi ça bon sang ? Pourquoi nous sommes toujours comme ça les Musulmans, on ne tient que les choses débiles pour se manifester et je ne sais pas quoi sur ...
malla, tous ça pour un nounours nommé "Mohamet" ... à ce point, on laisse les graves problèmes des musulmans et on se montre comme si on défend notre profète et je ne sais pas quoi ...

On aime notre profète Mohamed "salla allahou 3alayhi wa sallam" ... Mais c'est pas comme ça qu'on montre notre amour, zéyed prière que ls choses changeront un jour ...

haw ma chienne s apelle Maria , c quoi le probleme :bball:

mon slip s'appelle yahvé



et merci à celui qui censure :

rmsenforce a écrit:

et merci à celui qui censure :

t'as eu une explication par mp, j'éspère que c'est compréhensible, et si y'a quelque chose qui ne marche pas , tu peux me contacter par mp ...

En tous cas, ça reflète le niveau des Musulmans en génral ...
Au lieu de se manifester contre des problèmes les plus sérieux que vit le Soudan(Affaire Darfour, pauvreté, agression sexuelle contre des femmes à Darfour,... par ex) on se focalise sur des trucs banals ...

rmsenforce a écrit:

et merci à celui qui censure :

[HS]
Je te promet que rien n'aurait été censuré si ça présentait pas un danger pouvant aller jusqu'au verrouillage du forum en Tunisie.[/HS]

Sinon, toujours avec cette histoire qui m'a bien marqué par sa débilité , j'ai trouvé cet article sur le net:

Citation :

David Miliband, ministre britannique des Affaires étrangères, évoque un "malentendu en toute innocence" (Reuters).


La Grande-Bretagne s'est déclarée "extrêmement déçue", jeudi 29 novembre, par la condamnation à 15 jours de prison et à l'expulsion d'une enseignante britannique jugée au Soudan pour insulte à l'islam, selon une porte-parole du Foreign Office. "Nous sommes extrêmement déçus par ce verdict et nous allons convoquer l'ambassadeur soudanais pour s'expliquer sur la situation", a commenté la porte-parole. L'ambassadeur, qui avait déjà été reçu en milieu de journée par le ministre britannique des Affaires étrangères David Miliband, devrait être convoqué "en début de soirée ou vendredi matin", a-t-elle ajouté sans plus de précision.
L'enseignante britannique, Gillian Gibbons, 54 ans, originaire de Liverpool, avait été inculpée mercredi 28, en vertu de l'article 125 du code pénal, d'insulte aux croyances religieuses et sédition, parce qu'elle avait permis à des élèves de 6 à 7 ans de donner le nom de Mahomet à un ours en peluche, alors que toute représentation du prophète de l'islam est illicite. Elle était passible d'une peine de coups de fouet.


"Malentendu en toute innoncence"

Lors de sa rencontre de jeudi avec l'ambassadeur soudanais à Londres, Omer Siddig, David Miliband avait affirmé que l'institutrice avait agi "en toute innocence" et il avait souhaité que le "bon sens" finisse par prévaloir. "Il ne s'agit pas d'un manque de respect envers le Soudan, il faut dire très clairement qu'il s'agit d'un malentendu en toute innocence", a-t-il déclaré.
Le ministre britannique des Affaires étrangères avait estimé qu'en dépit des tensions entre Khartoum et plusieurs pays occidentaux sur la question du Darfour, il ne devait y avoir aucun "différend politique" autour de ce cas. "Il s'agit d'une personne apportant sa contribution à la société soudanaise", avait-il souligné.


Une condamnation pourtant "improbable"

Un porte-parole de Downing Street avait indiqué que le gouvernement de Gordon Brown "étudierait quelles mesures pourraient être nécessaires à la lumière de la rencontre avec l'ambassadeur" soudanais au Foreign Office."Nous devons comprendre ce qui justifie l'inculpation de Mme Gibbons", avait-il expliqué.

De son côté, le porte-parole de l'ambassade du Soudan à Londres avait jugé jeudi "improbable" une condamnation de l'enseignante britannique, lors d'une interview à la BBC. "Mme Gibbons bénéficie d'un soutien consulaire, l'ambassade de Grande-Bretagne a l'un des meilleurs avocats du pays, que je connais personnellement", avait déclaré Khalid al Mubarak.


"Le président pourrait intervenir"

"Il n'y a aucune inquiétude à avoir de ce côté, elle sera bien défendue et bien traitée", avait-il ajouté. "Au cas improbable où elle serait condamnée, il y a un processus d'appel, comme ici" en Grande-Bretagne. Le porte-parole avait confirmé que le président soudanais Omar el-Béchir était susceptible d'intervenir dans cette affaire au cas où l'institutrice serait condamnée.
"Lors d'une étape ultérieure [du processus judiciaire] le président pourrait intervenir mais je ne pense pas que nous atteindrons cette étape ultérieure", avait-t-il insisté.